Des scientifiques découvrent enfin un peu de tendresse chez les fangs
- Redaction
- 1 mars 2019
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Il semblerait que tout ne soit pas perdu pour les « apaches »
L’étude aura pris plusieurs dizaines d’années et aura nécessité plusieurs milliers de cobayes afin de faire une avancée majeure en anthropologie. En effet, malgré toutes les informations incessantes qui décrivent son ethnie comme des sauvages nés, Firmin Ndong Obame n’a pas baissé les bras !
C’est à la suite d’une déception amoureuse avec une compatriote qu’il décidera de mener cette étude qui vient révolutionner la vie des Gabonaises et Gabonais. Lui reprochant de ne pas être romantique et de trop la bastonner, son ancienne copine Graziella lui balancera la phrase qui changera l’avenir de notre Nation : « de toute façon, vous les Fangs, vous ne connaissez que la brutalité ».
Meurtri au plus profond de son âme, Firmin se lance alors dans des recherches sans fin pour prouver qu’en dessous de toute cette sauvagerie, il y a un petit cœur qui bat ! Il lui faudra à peine douze ans pour enfin avoir la preuve tant recherchée. En effet, c’est en surfant sur facebook qu’il tombera sur le saint graal ! Le profil de Clovis Nzong, mannequin émérite et tombeur de ses dames, qui vient enfin mettre une lueur d’espoir dans le cœur de tous ces hommes Fangs dont la poésie est encore bien trop souvent incomprise. Firmin Ndong Obame devrait se rendre prochainement à Pékin pour présenter les résultats de ses travaux et enfin prouver au monde que la légende des fangs et de la sauvagerie n’est qu’une légende urbaine.
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